Derniers jours sur les bords de la mer noire

Le 13 novembre 2013, nous avons roulé toute l’après-midi pour nous retrouver à Zonguldak. Assez grosse ville, on a donc dû tourner un peu pour trouver à se garer. Mais on a réussi sans trop de problème. Il est tard, il fait nuit, on verra demain où nous sommes exactement.

Le 14 novembre 2013 nous sommes stationnés à coté un centre de rééducation (je crois !!!). C’est assez animé comme quartier mais calme le soir. Des vendeurs font leur apparition en cours de matinée, ce qui nous permet d’avoir des brioches chaudes au petit déjeuner et des légumes de producteur sans même avoir à bouger.

Comme le temps est bof, on visite la ville toute l’après-midi. Ça fait du bien de marcher un peu. Et puis on en profite pour faire quelques achats utiles (des chaussures pour Emilie, un transfo pour charger les ordis (le notre est en bout de course), une antenne amplifiante pour capter d’avantage de réseau WIFI etc. …).

Le 15 novembre 2013, il fait beau. Les enfants ont fini leur troisième série d’évaluations alors on poste le tout avant de partir. L’objectif de la journée : être à Amasra en fin de journée (soit environ 80 km). L’objectif était réaliste puisque nous sommes arrivés.

Ce petit village encaissé au cœur de collines est vraiment charmant. Nous sommes stationnés sur le port. Avant la tombée de la nuit on fait une petite visite du village. Nous sommes habillés très chaudement car il y a pas mal de vent.

Le 16 novembre 2013, le vent est tombé mais le ciel est gris. Ce matin on s’est accordé une petite grasse matinée (lever 9h au lieu de 8h) et puis on s’est rendu compte qu’il fallait poster les prochaines évaluations d’ici 15 jours, alors au boulot tout le monde. Le répit fut de courte durée … Dans l’après-midi on a fini la visite d’Amasra et on a changé d’emplacement pour dormir, nous sommes plus abrités des vents et surtout c’est free que de l’autre coté c’était 10 lira (soit environ 4 euros). Demain nous devrions prendre la route de Sofranbolu.

                       

On vous tient au courant. On vous embrasse et à très vite.

Les Leloup

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